Je vous remercie, mes patients/clients d’hier, vous qui m’avez permis de cheminer vers celle que je suis devenue.
Vous m’avez aidé à emprunter des sentiers et ainsi enrichir mon travail, lequel sert à mes patients/clients d’aujourd’hui.
Je vous remercie, mes patients/clients d’aujourd’hui, pour la confiance que vous me faites. Le chemin que vous me permettez de poursuivre continue de m’enrichir et ainsi en faire bénéficier les patients/clients de demain.
Certains d’entre vous ont eu un passage plus rapide que d’autres, néanmoins, cela n’enlève en rien leur empreinte et leur trace toute particulière, quelles qu’elles soient, qui participent à cet enrichissement.
Voici vos témoignages :
Burgulkut: « J’ai terminé ma thérapie Gestalt avec Sampey.
Huit années d’un accompagnement d’une grande rigueur : jamais une absence, jamais un rendez-vous annulé. Elle n’est jamais tombée malade. Sa présence constante a été une assurance tranquillisante dans les moments les plus agités.
Elle est extrêmement professionnelle, mais aussi profondément humaine.
Avec des mots, elle a su orienter ma conscience, me ramener à moi-même, par le lien de confiance que j’ai su tisser avec elle.
C’est avec elle que j’ai compris que j’étais à l’origine de mon propre malheur.
Comme le dit Bob Marley : « None but ourselves can free our mind »
Elle m’a appris à vivre mes émotions au lieu de les étouffer par la cigarette, à accueillir le moment présent comme un cadeau, à lâcher l’illusion de la guérison totale pour entrer dans quelque chose de plus vrai : l’acceptation.
Elle semble avoir un sang-froid naturel, une force tranquille qui invite à l’apaisement.
Son prénom signifie « Honneur et Dignité », et cela lui va parfaitement.
Grâce à elle, j’ai pu aller au-delà de ma personnalité, de mes défenses, de mes conditionnements et de mes rituels.
Elle dit qu’elle ne donne jamais de conseils… mais elle m’en a donné, souvent.
Peut-être sans le vouloir. Ils étaient là, et ils ont compté.
Son mode de pensée est un éloge à la vie : lucide, ancré, vibrant. Car au fond, nous ne sommes sûrs que d’une seule chose — c’est que nous allons mourir. Alors autant vivre pleinement chaque instant.
Aujourd’hui, je sais que je ne serai jamais « guéri », mais je suis plus libre, plus lucide, plus vivant.
Et j’ai compris ceci : si j’ai bien réussi à bien me juger moi-même, c’est que je suis un véritable sage.
( Juger de : se former une opinion sur; apprécier. « Il ne nous est pas permis de juger de la qualité de ce texte ». – s’estimer, se trouver )»
La Chouette « … Je peux dire aujourd’hui que je suis plus heureuse et en paix et que je vis pleinement les couleurs de mon arc-en-ciel intérieur.
J’ai développé une meilleure écoute et compréhension de moi-même et des autres, plus affinée. Et puis, je suis heureuse d’avoir découvert le goût de certaines choses : de la confiance en soi, de l’amour que l’on me donne, du plaisir à vivre avec mes congénères dans une plus grande liberté d’être… »
Romy « … J’ai appris à apprivoiser puis accepter mes peurs, mes angoisses, eu accès à une nouvelle forme d’échange, expérimenté une facilité dans le contact avec les autres. J’ai pu ainsi transformer un sentiment de culpabilité récurrent quant à ma place sur terre, en responsabilité de ma propre vie et de mes actes. J’ai senti ma personnalité se déployer et ai pu regagner une estime de moi pour le moins salutaire. »
Gausi « À l’approche de la cinquantaine, je prends conscience du temps qui passe, de la roue qui tourne. Comme disait Confucius « on a deux vies et la deuxième commence quand on se rend compte qu’on en a qu’une « .
Avec l’aide de Sampey gestalt thérapeute, j’ai mis des mots sur mes maux. Parfois, de certaines séances, j’en suis ressortie profondément secouée. Mais la volonté de m’en sortir, son professionnalisme et sa sincère implication ont eu raison de ce mal car oui j’étais malade de ma vie.
Puisse ce témoignage donner l’envie à ceux qui comme moi pensent que leur souffrance est irréversible, de vous rencontrer afin de retrouver espoir et goût à la vie. »
La petite fusée « J’arrive aujourd’hui à accepter que oui je peux être triste, je peux ne pas y arriver, je peux me tromper, dire ce que je ressens et faire ce dont j’ai envie, le tout accompagné de mes peurs …
Mes peurs justement, j’ai bien compris, qu’elles seraient là, à côté de moi tout le long de ma vie … et j’en suis bien heureuse car c’est moi.
J’ai comme l’impression qu’une certaine sagesse est en moi … »